mardi 25 octobre 2011
mardi 4 octobre 2011
Cinéma horrifique, 4
1980. The Shining. Après avoir déjà réalisé un péplum (Spartacus), une comédie satyrique (Docteur Folamour), un drame (Lolita), un film d'anticipation sociale (Orange mécanique), un space opera (2001 : L'Odyssée de l'espace), et un film historique (Barry Lindon), Stanley Kubrick s'attaque à un nouveau genre cinématographique - le film d'horreur - en adaptant au cinéma un roman de Stephen King. La scène d'introduction, comme souvent, est très importante : elle a pour rôle de plonger le spectateur dans l'ambiance, celle d'une immensité qui s'avère paradoxalement étouffante.
1982. The Thing. John Carpenter produit là un remake d'un classique des années 50, et un des films les plus flippants de l'histoire du cinéma (peut-être même LE film le plus flippant). A voir absolument, dans les conditions qu'un bon film d'horreur mérite, c'est-à-dire : seul, dans le noir, tous moyens de communication éteints (autrement il n'y a pas de films flippants).
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mercredi 28 septembre 2011
Michael Franks Is The Man; Part. 2
"Deux ans sans vous voir c’est beaucoup trop long !"
Fort de cet apophtegme cher à Johnny Hallyday, c’est donc en 1975 que notre ami Michael Franks sort son second album.
Fort d’une bonne brochette de musiciens de renom (Larry Carlton, Joe Sample, Nick DeCaro, David Sanborn...), du producteur phare de l’époque (30 nominations aux Grammy Awards !), et à l’inverse de son premier album totalement ignoré, cet album est celui de la reconnaissance.
Grâce à des morceaux tels que Nightmoves, Popsicle Toes et son premier tube Monkey see – Monkey do, cet opus aura assurément su lancer la carrière de MF.
D’un point de vue personnel, cet album est sans conteste le moins attrayant, le moins convaincant.
Nightmoves
Eggplant
Monkey See - Monkey Do
St. Elmo's Fire
Popsicle Toes
Sometimes I Just Forget to Smile
Vivement le prochain numéro, avec un virage à 180° et un album phare dans la discographie du duc cool !
samedi 17 septembre 2011
Top Adonis S.C. #46 : Jimmy Somerville, Read My Lips
A la 46ème place de ce TOP, voici Jimmy Somerville avec Reads My Lips, sorti en 1989 .
Cet album diffère des 4 déjà parus, de part sa sonorité (un son européen, très fin 80, voire tout début 90, qui contraste avec le son plutôt synthpop-soul-funk-R&B mid-80’s), mais surtout de part sa visée.
Là où les 4 albums visaient un public jeune, principalement noir et étaient dépourvus de messages contestataires ou revendicatifs, celui de Jimmy en est truffé; racisme, injustice, homophobie...
En effet, Jimmy Somerville, createur des groupes Bronski Beat et The Communards et icône gay depuis plus de 28ans, est un homme de causes (Act Up, Band Aid...).
Et quel meilleur moyen de conjuguer musique et combat ?
Un disque à la fois léger, avec comme hymne la reprise de Comment Te Dire Adieu de Gainsbourg, ou encore celle de You Make Me Feel, empruntée à une icône de la nuit gay, Sylvester, décédée justement du SIDA.
Un disque festif, joyeux, gay, mais qui sert en même temps de mise en garde sur le traitement réservé aux minorités ; discrimination et douleur.
Comment Te Dire Adieu
Heaven Here On Earth
Don't Know What To Do
Read My Lips
Rain
dimanche 11 septembre 2011
New Bossa, 5 : "I Melt With You"
lundi 5 septembre 2011
Cinéma horrifique, 3
Le même morceau tel qu'il apparaît au tout début du film, mais avec une qualité sonore moindre et surtout coupé avant la fin. Les paysages sont ceux de l'Amazonie, où le film est censé se dérouler et où il a été effectivement tourné :
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vendredi 19 août 2011
Cinéma horrifique, 2
mercredi 17 août 2011
Cinéma horrifique, 1
mardi 2 août 2011
Jeu d'été
lundi 25 juillet 2011
Tubes de l'été; Ou comment sauver ses vacances.
Qui dit mois de Juillet dit grandes vacances.
Et qui dit grandes vacances dit Hawaï ou Ibiza pour les plus chanceux et Montargis pour les autres.
Et bien sur Kamal Khan Forever, on pense aux autres.
Grâce aux tubes de l'été ressortis tout droit des années 90, nous vous promettons des vacances sentant le soleil, le sable chaud et la crème solaire.
Bellini - Samba de Janeiro (1997)
Félicidad - Dam dam déo (1995)
Los Del Rio - Macarena (1996)
Carrapicho - Tic Tic Tac (1996)
Nomads - Yakalelo (1998)
Paradisio - Bailando (1996)
jeudi 21 juillet 2011
Little Miss Lover
Encore une reprise donc, mais toujours aussi originale.
C'est cette fois Bill Wolfer, synthé-man auteur de trois albums qui s'y colle.
Un son nettement plus electro, synthétique (années 80 oblige), qui détonne fortement avec la version d'origine.
Jimi Hendrix - Little Miss Lover (Axis:Bold As Love, 1967)
Bill Wolfer - Little Miss Lover (The Hard Way, 1984)
mardi 19 juillet 2011
Michael Franks Is The Man; Part. 1
Classe, raffinement, finesse, élégance, subtilité...
Tant de termes pour désigner un seul homme.
J'ai nommé Michael Franks; le parrain du Latin Jazz, le pape du Soft Rock, l'ayatollah du Smooth Jazz, le dieu de la pop.
Vous l'avez compris à travers cette très courte introduction totalement subjective, Michael Franks a pour particularité d'être mon artiste préféré.
Fort de 17 albums studio et d'un album live, Michael Franks a eu ce qu'on appelle une carrière bien remplie, mais à la trajectoire bien particulière, voire déroutante.
En effet, en 38 ans de carrière, Michael Franks a autant modifié son style musical que sa coiffure (mais pas sa moustache).
Dans ce premier article, qui sera suivi par 11 autres (vous comprendrez pourquoi plus tard 11 et pas 17), nous commencerons logiquement par le premier album.
Sorti en 1973, cet album éponyme passera inaperçu lors de sa sortie mais grâce à la notoriété de son interprète dans les années 80 se verra la chance d'être réédité, cette fois-ci sous le titre Previously Unvailable, en 1983.
Just Like Key Largo
When Blackbirds Fly
Life's Little Highway
King Of Oklahoma
Three Today
Un album ignoré à l'époque malgré une qualité certaine dans l'écriture, des mélodies accrocheuses et une bonne orchestration (pour ce premier essai, la guitare, le banjo et la mandoline sont joués par lui-même).
Ce premier album, dans un style plutôt Folk-Rock, est surtout intéressant de par son côté partuculier, unique;
jamais Michael Franks ne se remettra à ce genre musical.
Cet album est ce qu'on peut appeler un «hors collection».
Dès son deuxième album, un nouveau style musical est touché par l'artiste.
Mais ça, c'est une autre histoire...
dimanche 17 juillet 2011
Top Adonis S.C. #47 : Lionel Richie, Can't Slow Down
Mais qui se cache donc derrière la 47ème place ?
Comme vous venez de le voir grâce à la pochette ci-dessus, il s'agit de Lionel Richie avec son album Can't Slow Down, sortit en 1983.
Le disque de tout les records pour Lionel Richie:
20 millions de copies vendues, 160 semaines consécutives dans le Billboard 200 et surtout LA récompense ultime; Grammy Award de l'album de l'année en 1985.
Certes, un album sensiblement identique à tous ceux parus dans ce classement (pour l'instant), mais qui réussi à tirer son épingle du jeux.
Entouré des meilleurs, comme Michael Boddicker, Paulinho Da Costa, Nathan East, Abraham Laboriel ou encore une bonne partie du groupe Toto, Lionel Richie réussi à créer des vrais tubes (dont les célèbres All Night Long et Hello) et récolte par la même occasion plus qu'une simple reconnaissance:
En effet, grâce à cet l'album, Lionel Richie peut se targuer d'avoir été l'une des premières superstar à régner sur les années 80 avec son comparse Michael Jackson (cérémonie de clôture des JO de LA en 1984, We Are The World en 1985...).
L'album de la révélation et de la consécration en même temps, c'est fort, très fort !
Can't Slow Down
All Night Long
Love Will Find A Way
Running With The Night
Hello
lundi 11 juillet 2011
Eleanor Rigby
Les Beatles, de par leur statut de plus grand groupes de tout les temps, se sont vu reprendre un nombre incalculable de fois.
Mais qu'est-ce qui pousse tant de monde à rependre leurs chansons ?
Et bien c'est en partie (je dis bien en partie) leurs mélodies à la fois simples et complexes.
Des mélodies prêtes à satisfaire des musiciens de tout horizons, du tout jeune guitariste s'exerçant à plaquer ses trois premiers accords en passant par des artistes plus que confirmés, tels que Tina Turner, Elvis, Stevie Wonder ou bien Michael Jackson.
Aujourd'hui, c'est la reprise plus qu'originale d'Eleanor Rigby du guitariste virtuose Stanley Jordan qui a la chance de passer sur votre blog préféré.
The Beatles - Elenaor Rigby (Revolver, 1966)
Stanley Jordan - Eleanor Rigby (Magic Touch, 1985)
jeudi 7 juillet 2011
In the red corner
mardi 5 juillet 2011
Ma Benz
1998, le Suprême NTM sort son 4ème et pour l'instant dernier album studio.
Sans aucun doute l'album de la consécration avec des hits comme Back dans les bacs, Laisse pas trainer ton fils, That's my people, Seine Saint-Denis style...
Mais un morceau plus que les autres connaîtra le succès:
Ma Benz, véritable hymne du groupe, écrite en 20 minutes par Lord Kossity qui lança sa carrière avec cette collaboration, reste aujourd'hui le plus connu, le plus apprécié des morceaux du Suprême.
Tellement apprécié qu' il se verra la chance d'être repris par deux fois dans des reprises totalement décalées.
YO, ROUGH BOY !!!
Supreme NTM & Lord Kossity - Ma Benz (Suprême NTM, 1998)
Philippe Katerine - Ma Benz
Brigitte - Ma Benz (Battez-Vous, 2010)
vendredi 1 juillet 2011
Rétrospective Bernard Estardy, 1
mardi 28 juin 2011
Top Adonis S.C. #48 : Eddie Murphy, How Could It Be
Et on continue donc ce classement avec la 48ème place, attribué à Eddie Murphy avec son album How Could It Be.
Suite à la sortie du film Le Flic De Beverly Hills en 1984, Eddie Murphy se trouve au firmament de sa carrière, et décide de sortir HCIB.Nous sommes en 1985.
Pour ce faire, il s'entoure des producteurs du moment, à savoir le Funkymaster Rick James et du génial Stevie Wonder, ainsi que des meilleurs musiciens; Gordon Banks, Freddie Wahsington, Jeff Lorber... mais aussi de Greg Phillinganes et donc de Stevie Wonder, que l'on retrouve successivement à la 49ème et à la 50ème place de ce même classement.
Pas vraiment un succès à sa sortie et toujours aussi sous-estimé plus de 25 après, cet album est en fait connu seulement pour son titre phare, son hymne, véritable ode au plaisir et à la joie: Party All The Time.
En somme, un disque de qualité certaine, avec des compositions sympas, où l'on découvre surtout les talents de chanteur d'Eddie Murphy qu'il réutilisera sur deux autres albums, mais qui manque cruellement de tubes à proprement parler.
C-O-N Confused
DO I
My God Is Color Blind
Party All The Time
jeudi 23 juin 2011
Duel d'honneur : 2ème acte
mardi 21 juin 2011
"4’33" par John Cage
John Cage, « 4’33 » :
lundi 20 juin 2011
Satisfaction
samedi 18 juin 2011
"Timber" par Coldcut et Hexstatic
jeudi 16 juin 2011
New Bossa, 4 : "Don't Go"
« Came in from the city walked into the door
I turned around when i heard the sound of footsteps on the floor
Said he was a killer, now i know it's true i'm dead when you walkout the door
Hey babe i'm hooked on you »
mardi 14 juin 2011
"Deuxième ombre" par Gestalt
Gestalt est un de ces groupes français de new-wave qui ont pullulé au milieu des années 80, et qui font encore aujourd'hui le bonheur de tout un underground de collectionneurs. "French coldwave" on dit, en Angleterre, aux Etats-Unis et ailleurs, pour qualifier cette new-wave à la sauce française. Tout un réseau mondial d'aficionados continue encore aujourd'hui, près d'un quart de siècle après, à s'échanger les vinyles et les rares rééditions de ces enregistrements souvent brouillons, et parfois lumineux, à l'instar de ce morceau "Deuxième ombre" qui est une vraie leçon de composition et d'arrangement à l'arrache :
Gestalt, « Deuxième ombre » (Le Sommeil du singe, 1987) :
lundi 13 juin 2011
Top Adonis S.C. #49 : Greg Phillinganes, Pulse
"Signals" :
"Come As You Are" :
"Won't Be Long Now"
"Behind The Mask"
dimanche 12 juin 2011
Péage : 1000m
Dire Straits - So Far Away (Brothers In Arms, 1985)
ZZ Top - Legs (Eliminator, 1983)
Michael Franks - When Blackbirds Fly (Previously Unavailable, 1975)
Tina Turner - Paradise Is Here (Break Every Rule, 1986)
lundi 6 juin 2011
Sex, drugs & Rock'N'Roll !
Skid Row - "Here I Am" (Skid Row, 1989)
Warrant - "Cherry Pie" (Cherry Pie, 1990)
Alice Cooper - "Feed My Frankenstein" (Hey Stoopid, 1991)
Rhino Bucket - "Ride With Your Self" (Get Used To It, 1992)
Bulletboys - "Rock Candy" (Wayne's World Soundtrack, 1992)
Cinderella - "Hot and Bothered" (Wayne's World Soundtrack, 1992)
dimanche 5 juin 2011
Rétrospective Röyksopp, 5/5 : Bonus (liens + inédits + remixes)
Coldplay, « Clocks » (Röyksopp’s Trembling Heart remix) :
Lady Gaga, « Judas » (Röyksopp’s European Imbecile remix) :
Röyksopp, « Le Cantique de Nöel » :
Röyksopp feat. Karin Dreijer, « Tricky Tricky » (Salem’s remix) :
Röyksopp, « Happy Up Here » (Datassette’s remix) :
"Come On Let's Go" par Broadcast
vendredi 3 juin 2011
Top Adonis S.C. #50 : Stevie Wonder, In Square Circle
Stevie Wonder – In Square Circle (1985)
"Part-Time Lover" :
"I Love You Too Much" :
"Land Of La La" :
"It's Wrong (Apartheid)" :
jeudi 2 juin 2011
Promo : trois pour le prix d'une !
Yellow Magic Orchestra - "Behind the Mask" (Solid State Survivor, 1979)
Greg Phillinganes - "Behind The Mask" (Pulse, 1984)
Eric Clapton - "Behind The Mask" (August, 1986)
mardi 31 mai 2011
Ikkles est dans la place
Edward Sharpe & The Magnetic Zeros, « Home » (2009) :
Cassius, « I Love U So » (The Rawkers EP, 2010) :
Shuggie Otis, « Aht Uh Mi Hed » (Inspiration Information, 1974) :
Shuggie Otis, « Strawberry Letter #23 » (Freedom Flight, 1971) :
lundi 30 mai 2011
It's Blues Time !
It's Blues time !
"Hot, Blue And Righteous" (Tres Hombres, 1973)
"Blue Jean Blues" (Fandango, 1975)
"A Fool For Your Stockings" (Deguello, 1979)
"I Need You Tonight" (Eliminator, 1983)
"Rough Boy" (Afterburner, 1985)
"2000 Blues" (Recycler, 1990)
samedi 28 mai 2011
The Alan Parsons Project, Part.II
"Eagle Will Rise Again" (Pyramid, 1978)
"You Won't Be There" (Eve, 1979)
"Time" (The Turn Of A Friendly Card, 1980)
"Old and Wise" (Eye In The Sky, 1982)
"Since The Last Goodbye" (Ammonia Avenue,1984)
The Alan Parsons Project, Part.I
"I Robot" (I Robot, 1977)
"Hyper-Gamma-Spaces" (Pyramid, 1978)
"Lucifer" (Eve, 1979)
"Mammagamma" (Eye In The Sky, 1982)
"Pipeline" (Amomnia Avenue, 1984)