mardi 19 juillet 2011

Michael Franks Is The Man; Part. 1



Classe, raffinement, finesse, élégance, subtilité...
Tant de termes pour désigner un seul homme.
J'ai nommé Michael Franks; le parrain du Latin Jazz, le pape du Soft Rock, l'ayatollah du Smooth Jazz, le dieu de la pop.

Vous l'avez compris à travers cette très courte introduction totalement subjective, Michael Franks a pour particularité d'être mon artiste préféré.

Fort de 17 albums studio et d'un album live, Michael Franks a eu ce qu'on appelle une carrière bien remplie, mais à la trajectoire bien particulière, voire déroutante.
En effet, en 38 ans de carrière, Michael Franks a autant modifié son style musical que sa coiffure (mais pas sa moustache).

Dans ce premier article, qui sera suivi par 11 autres (vous comprendrez pourquoi plus tard 11 et pas 17), nous commencerons logiquement par le premier album.

Sorti en 1973, cet album éponyme passera inaperçu lors de sa sortie mais grâce à la notoriété de son interprète dans les années 80 se verra la chance d'être réédité, cette fois-ci sous le titre Previously Unvailable, en 1983.

Just Like Key Largo




When Blackbirds Fly




Life's Little Highway




King Of Oklahoma




Three Today




Un album ignoré à l'époque malgré une qualité certaine dans l'écriture, des mélodies accrocheuses et une bonne orchestration (pour ce premier essai, la guitare, le banjo et la mandoline sont joués par lui-même).

Ce premier album, dans un style plutôt Folk-Rock, est surtout intéressant de par son côté partuculier, unique;
jamais Michael Franks ne se remettra à ce genre musical.
Cet album est ce qu'on peut appeler un «hors collection».
Dès son deuxième album, un nouveau style musical est touché par l'artiste.
Mais ça, c'est une autre histoire...

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