mardi 31 mai 2011

Ikkles est dans la place

Ikkles est une amie à nous. C’est une artiste. Ca veut dire qu’elle est douée de ses dix doigts, qu’elle fait de la peinture, de la sculpture, des choses comme ça, avec beaucoup de talent. Ca veut dire aussi qu’elle est un peu folle, mais on l’aime bien quand même. De toutes manières, les artistes n’ont pas à être raisonnable, c’est là leur privilège, et tant pis pour la soi-disant égalité des droits.

Voilà sa sélection pour nous, et donc pour vous :


Edward Sharpe & The Magnetic Zeros, « Home » (2009) :




Cassius, « I Love U So » (The Rawkers EP, 2010) :




Shuggie Otis, « Aht Uh Mi Hed » (Inspiration Information, 1974) :




Shuggie Otis, « Strawberry Letter #23 » (Freedom Flight, 1971) :

lundi 30 mai 2011

It's Blues Time !



Inutile de présenter les ZZ Top, les trois rockeurs texans à la pilosité farfelue amateurs de femmes, de grosses voitures et surtout de guitares saturées.

Leur discographie se compose de dizaines de tubes rock, mais seulement quelques bluesy.
Et c'est ses chansons bluesy que nous allons avoir le plaisir d'écouter aujourd'hui.
Un Blues artificiel, emprunté, totalement aseptisé; voici la marque de fabrique des ZZ Top.

It's Blues time !


"Hot, Blue And Righteous" (Tres Hombres, 1973)




"Blue Jean Blues" (Fandango, 1975)




"A Fool For Your Stockings" (Deguello, 1979)




"I Need You Tonight" (Eliminator, 1983)




"Rough Boy" (Afterburner, 1985)




"2000 Blues" (Recycler, 1990)

samedi 28 mai 2011

The Alan Parsons Project, Part.II



Comme promis pour cette deuxième partie du diptyque consacré à The Alan Parsons Project, voici les morceaux les plus élaborés.

Beaucoup plus lentes et plus harmonieuses, ces ballades tranchent totalement avec les instrumentaux.

Nous sommes donc ici en présence de slows qui eux aussi on eu leur petite renommée, tout comme les tubes les plus émoustillants d'un des plus grands groupes britanniques.

"Eagle Will Rise Again" (Pyramid, 1978)




"You Won't Be There" (Eve, 1979)




"Time" (The Turn Of A Friendly Card, 1980)




"Old and Wise" (Eye In The Sky, 1982)




"Since The Last Goodbye" (Ammonia Avenue,1984)

The Alan Parsons Project, Part.I


A partir du milieu des années 70, Alan Parsons, ingénieur du son des Beatles ou encore de Pink Floyd commence sérieusement à en avoir marre de bosser pour les autres, et se verrait bien pour une fois être LA star.

Pour ce faire, il forme un groupe d'une vingtaine de musiciens et de chanteurs, dont un seul sera considéré comme formateur et restera jusqu'au bout de l'aventure, l'aérien Eric Woolfson.

Il semblerait judicieux de décomposer The Alan Parsons Project en deux phases bien distinctes:
Pour aujourd'hui, quelques morceaux plutôt grand public; comprenez par là des instrumentaux entrainants, facile à retenir et surtout qui donne l'impression de déjà entendu.

Et pour la suite, des morceaux plus sophistiqués, plus réfléchis.

Voici donc les "classiques" d'un des groupes les plus sous-estimés et oubliés du XX siècle (rien que ça)!

"I Robot" (I Robot, 1977)




"Hyper-Gamma-Spaces" (Pyramid, 1978)




"Lucifer" (Eve, 1979)




"Mammagamma" (Eye In The Sky, 1982)




"Pipeline" (Amomnia Avenue, 1984)

jeudi 26 mai 2011

Rétrospective Röyksopp, 4/5 : Senior


Senior est arrivé dans les bacs 1 an après Junior. Comme leurs noms l’indiquent, les deux albums forment une sorte de diptyque.

Si l’on devait se fier à ces titres, on devrait en conclure que Junior est un album plus jeune, plus insouciant, et que Senior au contraire est l’album d’une certaine sagesse venant avec l’âge. Tel est bien le cas, ce qui prouve qu’au moins le duo a fait preuve de clairvoyance dans le choix des titres.

Senior est l’album le plus calme, le plus posé, mais aussi le plus mélancolique du duo norvégien. Fini les morceaux qui pourraient passer en soirée, c’est à la sphère intime que s’adressent cette fois les deux musiciens. Ce qui ne signifie pas pour autant l’abandon de tout beat, je vous rassure (je ferai dans les musiques bizarres sans rythme une autre fois).


Après une curieuse auto-reprise (« Tricky Two », qui reprend « Tricky Tricky » de l’album Junior ; à écouter si vous avez apprécié l’original), l’album démarre par un morceau un peu raide, avec comme sur « Eple » ou « Happy Up Here » une mélodie simple et proéminente :

Röyksopp, « The Alcoholic » :




Les deux morceaux suivants sont assez similaires dans l’idée, avec la même ambiance cotonneuse et décontractée. Ils ont tous les deux pour base un sample soigneusement choisi (un travail qui rappelle Melody A.M., le premier album). Voici pour le sample de basse :

Röyksopp, « Senior Living » :




Et voilà pour le sample de guitare :

Röyksopp, « Forsaken Cowboy » :




Ma dernière sélection commence comme une bonne instru de rap (peut-être pas le genre d’instru qu’on entend effectivement, mais le genre que j’aimerais entendre personnellement). Elle commence comme ça, pour poursuivre dans une veine un peu plus psychédélique :

Röyksopp, « The Fear » :




Que des instrus, comme vous aurez pu remarquer. Pas de chant, ou très peu. Pas de featuring du tout (mais où étaient donc passées Karin Dreijer et Anneli Drecker ?). Et des vidéos un peu bizarres issues d'un concours lancé pour la sortie du disque.

Au final, un album un peu décevant pour ceux qui s'attendaient à du Röyksopp pur jus, mais qu'on finit par apprécier quand même pour peu qu'on se donne la peine de lui donner une chance. On retrouve tout de même la marque de fabrique du duo, cette ambiance si particulière qui fait penser à une journée au soleil du cercle polaire arctique.

mercredi 25 mai 2011

New Bossa, 3 : "In A Manner of Speaking"

Ces derniers temps, on a été très sympa, très joyeux sur Kamal Khan Forever. Ce soir, l’ambiance sera plus grave, plus sérieuse, pour ne pas dire déprimante. C’est que dans la série des avant/après consacrés au groupe Nouvelle Vague, on s’attaque aujourd’hui à un chef d’œuvre un peu sombre : « In a manner of speaking », du collectif Tuxedomoon. Un bon exemple de minimalisme intelligent (là où souvent le minimalisme sert à cacher le fait que l’on n’a rien à dire ou que l’on est incompétent), et il faut bien le dire, de tristesse. A garder dans un coin pour vos soirées Bridget Jones, à manger de la glace en pyjama parce que Hugh Grant vous aura largué une fois de plus (une version de Bridget Jones qui aurait bon goût, bien entendu).

Heureusement, la reprise de Nouvelle Vague est là, beaucoup plus légère, pour vous remonter le moral. Avec Camille au chant, l’auteur-compositrice-interprète du tube « Ta douleur » (que l’on a pas trop peu entendu, c’est le moins qu’on puisse dire). Camille qui d'ailleurs le ferait très bien, dans le rôle de la Bridget Jones qui écouterait Tuxedomoon pour achever de se ruiner le moral (en mangeant des makis au Nutella, c'est plus branché que la Ben & Jerry's).


Tuxedomoon, « In A Manner of Speaking » (Holy Wars, 1985) :




Nouvelle Vague feat. Camille, « In A Manner of Speaking » (Nouvelle vague, 2004) :

"Midnight Drive" par Ruxpin

Parce qu'il est minuit passé, parce que j'adore cette chanson, parce qu'elle est inédite sur Deezer et YT!, et parce que j'ai besoin de tester le lecteur de SoundCloud, voici une chanson qui ne peut s'écouter que la nuit, seul ou bien accompagné, chez soi ou dans un moyen de transport quelconque :

Ruxpin, « Midnight Drive » (2000) :

lundi 23 mai 2011

Rétrospective Röyksopp, 3/5 : Junior


Encore 4 ans d’attente, et Röyksopp est de retour. Toujours la même formule : on ne change pas une équipe qui gagne. Avec quand même un peu plus de funk qu’avant, et un peu moins de boum-boum (si vous voyez ce que je veux dire).

Si The Understanding était à mon avis le meilleur disque du duo, celui qu’on a le plus de plaisir à écouter de A à Z, Junior est celui qui contient les meilleurs morceaux :


Tout d’abord, parce qu’on est « happy » du retour du groupe, voilà « Happy Up Here », une chanson qui rappelle « Eple » du premier album, en raison de sa mélodie simple et enjouée comme celle d’une comptine d’enfants :

Röyksopp, « Happy Up Here » :




Plus loin dans le disque, une séquence qui tue : trois réussites qui se suivent les unes les autres, pour votre plus grand plaisir. En premier, « Miss It So Much », l’histoire d’une fille qui a un cœur mécanique :

Röyksopp feat. Lykke Li, « Miss It So Much » :




En deuxième « Tricky Tricky », avec au chant Karin Dreijer. Un peu paranoïaque, comme toujours à chaque fois que le chanteuse de The Knife intervient quelque part :

Röyksopp feat. Karin Dreijer, « Tricky Tricky » :




En troisième, « You Don’t Have A Clue », ou comment faire du funky et du mélancolique en même temps. L’art de la mélodie alliée à la science du rythme (deux choses qui manquent terriblement parmi les productions musicales actuelles) :

Röyksopp feat. Anneli Drecker, « You Don’t Have A Clue » :

samedi 21 mai 2011

La flute c'est bien, la basse c'est mieux ! (Ou comment se faire voler la vedette)



Aussi bizarre qu'il y paraisse, Dave Valentin empile les albums comme personne en étant entouré des plus grandes pointures en matière d'accompagnement musical et est surtout reconnu dans le milieu.

Pourquoi «bizarre»?

Parce que Mr Valentin se trouve être flutiste de son état; un instrument mal connu, trop peu utilisé et apprécié, et ce de tout temps.

Voilà; 5min14 de flute pour vous convaincre !

Notons tout de même la basse puissante et clinquante qui tourne dans le morceau, allant jusqu'à voler la vedette à la flute, qui malheureusement pour elle se voit cantonner à un rôle de second:


Dave Valentin - "Merle The Pearl" (Flute Juice, 1983)

jeudi 19 mai 2011

Spéciale dédicace à DSK

Philippe Clay, sur un texte de Boris Vian, « Complainte d’Alphonse » ou « Complainte du priapisme » (1971) :



Et pour ceux qui ne sauraient pas qui est Priape et ce qu'est le priapisme, il suffit d'aller faire un petit tour sur Wikipedia.

mercredi 18 mai 2011

Kemp ou pas Kemp ?

Sylvester, Patrick Cowley, Divine...

Autant d'artistes majeurs pour un style musical aujourd'hui totalement disparu des ondes :
Le Hi-NRG.
Appelé aussi Kemp, ce mouvement, bien plus que seulement musical (comprenez évolution des mœurs) à vu le jour fin 70 et s'est terminé fin 80.
10 années de débauche sexuelle, de drogue, mais aussi de Beat ultra saccadé et de synthés criards à souhaits !

A travers les Divas les plus influentes de ces années, je vous emmènes faire un tour en boîte :
Studio 54, nous voilà !

Divine - "Shoot Your Shot" (1983)




Sylvester - "Sex" (1984)




Patrick Cowley - "Megatron Man" (1982)




Paul Parker - "Right On Target" (1982)




Giorgio Moroder - "From Here To Eternity" (1977)

mardi 17 mai 2011

Rétrospective Röyksopp, 2/5 : The Understanding


4 ans après Melody A.M., Röyksopp est de retour avec The Understanding. On retrouve la même formule que sur l’album précédent, mais avec une sonorité encore plus claire, encore plus lumineuse. L’album semble plus orienté grand public, avec un côté pop assez affirmé, et quelques morceaux carrément calibrés pour les pistes de danse des discothèques du monde libre.

Au final, il n’y a quasiment rien à jeter : pas de morceaux vraiment faiblards ou à la limite de l’énervant comme cela pouvait encore être le cas sur Melody A.M. Cela rend la sélection d’autant plus difficile :


On retiendra tout d’abord, dans la veine « boîte de nuit », « Only This Moment » et son mélange rythmique saccadée/mélodie sucrée (mélange opéré, il faut bien le dire, grâce à une ligne de basse qui passe pas loin du mauvais goût) :

Röyksopp feat. Kate Havnevik, « Only This Moment » :




Ensuite, plus pop et plus posé, le morceau qui a bénéficié de la participation au chant de Karin Dreijer (du groupe The Knife). Simple et épique, avec une touche de bizarre :

Röyksopp feat. Karin Dreijer, « What Else Is There ? » :




Le plus beau morceau instrumental de l’album commence de manière rétro, comme une sorte d’hommage aux visionnaires de l’électro des années 70. Mais c’est un piège, car par la suite l’inévitable beat débarque, augmenté d’un sample de guitare particulièrement bien trouvé :

Röyksopp, « Alpha Male » :




Et pour finir, un morceau qui annonce l’évolution ultérieure du groupe vers quelque chose de plus souple, plus funky. Comme pour mettre l’eau à la bouche des auditeurs avant l’album suivant :

Röyksopp, « Someone Like Me » :

dimanche 15 mai 2011

Rétrospective Röyksopp, 1/5 : Melody A.M.


Röyksopp est un duo norvégien de musique électronique formé à la toute fin des années 90 par Svein Berge et Torbjørn Brundtland. Le groupe est originaire de Tromsø, une petite ville située au nord du cercle polaire arctique (pour info, la température record est de 15° C au mois de juillet).


En 2001, le duo sort son premier album, Melody A.M. Pour le Guardian, il s’agit là d’un des « 1.000 albums to hear before you die ».

On y trouve déjà le cocktail qui permettra au groupe de s’imposer durablement dans les années à venir : une musique franchement moderne, avec tout de même quelques éléments rétro (certaines lignes de basses, de guitare, certains arrangements) ; des mélodies entraînantes et joyeuses, avec toujours une légère touche de gravité voire de nostalgie. Au final, on a quelque chose d’assez difficile à qualifier, mais qui a le mérite de fonctionner aussi bien auprès des danseurs du samedi soir que des mélomanes de salon.


Premier single extrait de l’album, « Eple » et sa mélodie mémorable, le genre de truc que l’on a l’impression de déjà connaître à la première écoute, tellement ça sonne évident :

Röyksopp, « Eple » :




Vient ensuite « Sparks » avec son sens du rythme inoubliable. Personnellement, ça m’évoque cette manière qu’ont certains sportifs de suspendre leur geste avant de le déclencher. « Sparks », c’est un hymne au moment où le geste est suspendu, au moment où il va se passer quelque chose mais où il ne se passe encore rien. Le morceau le plus calme de l'album :

Röyksopp feat. Anneli Drecker, « Sparks » :




Je n’ai retenu que ces deux là. Les critiques élogieuses ne doivent pas cacher le côté encore un peu brouillon de ce premier album. Avec le suivant, The Understanding, Röyksopp réalisera à mon avis son premier disque pleinement abouti.

samedi 14 mai 2011

"Clear" par Cybotron

Histoire de mettre les points sur les i :

En France, généralement, quand on parle d'"electro", on entend par là toute la musique électronique dans son ensemble : Techno/Trance/House/Jungle/Downtempo/etc., peu importe.

Dans le reste du monde, quand on parle d'"electro", on désigne un style musical bien précis. En gros, un style de musique électronique apparu au début des années 80 sur la côté Est des Etats-Unis, principalement à Détroit, et qui pour simplifier constitue la transition entre la musique électronique à synthés des années 70 (celle de Jean-Michel Jarre, Vangelis et Kraftwerk par exemple) et les instrus des tout premiers rappeurs (notamment Afrika Bambaata). On découvre donc une rythmique qui quelques années plus tard deviendra la rythmique du rap, avec par-dessus un travail mélodique au synthé encore très imprégné du solfège des artistes antérieurs. Avec, tout de même, une touche spécifique : le son caractéristique des instruments électroniques arrivés sur le marché dans ces années-là.

L'électro au sens strict, c'est CA :


Cybotron, « Clear » (1983) :



Et c'est tout simplement excellent.

mercredi 11 mai 2011

Duel d'honneur




A ma gauche, Steely Dan, groupe fondé en 1972 par l'excellentissime Donald Fagen et le brillantissime Walter Becker.

A ma droite, Mackey Feary Band composé du regretté Mackey Feary et d'anciens membres de Kalapana et créé en 1979.

Au centre, deux chansons quasiment identiques; l'une de 1977, et l'autre de 1979.

Alors, qui gagnera la bataille ?
Quelle chanson sortira vainqueur de ce duel ?

A vous de juger.


Steely Dan - Peg (Aja, 1977)




Mackey Feary Band - It's Okay (From The Heart, 1979)

lundi 9 mai 2011

"Le Téléphone" par Bernard Estardy

« Le téléphone est un appareil permettant de transmettre la voix humaine à distance et permettre ainsi une conversation. Pour fonctionner, le téléphone nécessite une infrastructure terrestre ou spatiale, le réseau téléphonique. Après y avoir raccordé son terminal fixe ou mis en marche son appareil mobile, l'utilisateur ayant souscrit à un abonnement auprès d'un opérateur de télécommunications peut passer un appel téléphonique à un destinataire également raccordé en composant son numéro ou tout identifiant unique attitré, ce qui déclenche généralement la sonnerie de l'appareil de destination. Si la personne appelée accepte l'appel, une conversation téléphonique peut commencer, ce qui se fait en général, en français, par le mot « allô ». » (Wikipedia, article « Téléphone »)


Bernard Estardy alias The Baronet, « Le Téléphone » (1974) :


Bernard Estardy (1939-2006) était un producteur, ingénieur du son et arrangeur français. C'est lui qui a enregistré la majeure partie de l’œuvre de Claude François. On lui doit aussi quelques disques de Johnny Hallyday, Michel Sardou, Gérard Manset, Joe Dassin, et bien d'autres encore. Il a aussi sorti quelques disques sous son propre nom ou sous pseudonyme, notamment La formule du Baron, monument du easy-listening, ou la série plus psychédélique et expérimentale des Electro Sounds (2 volumes).

dimanche 8 mai 2011

Le slap, c'est chic !


Le slap est une technique de jeu qui permet de produire des sons percutants sur un instrument (en général une basse) en frappant et claquant les cordes de façon sèche et puissante.

Grâce à cette petite introduction (merci Wikipédia !) vous voilà fin prêts pour découvrir et apprécier le slap.

Pour le plaisir des oreilles !


Bryan Ferry – "The Chosen One" (Boys And Girls, 1985)
Marcus Miller at bass guitar




David Sanborn – "Chicago Song" (A Change Of Heart, 1987)
Marcus Miller at bass guitar




George Duke – "Light" (Guardian Of The Light, 1983)
Louis Johnson at bass guitar




Level 42 – "I Sleep On My Heart" (World Machine, 1985)
Mark King at bass guitar




Marcus Miller – "Superspy" (Marcus Miller, 1984)
Marcus Miller at bass guitar




Michael Franks – "The Art Of Love" (Blue Pacific, 1990)
Freddie Washington at bass guitar

samedi 7 mai 2011

New Bossa, 2 : "A Forest"

Suite de la série consacrée au groupe Nouvelle Vague. Aujourd’hui, les versions originale et bossa nova de « A Forest », un des morceaux les plus connus de The Cure. Pour moi, leur meilleur single devant « Boys Don’t Cry », que l’on a vraiment trop entendu. C’était avant le rimmel, les chemises noires et les cheveux qui partent dans tous les sens :

The Cure, « A Forest » (Seventeen Seconds, 1980) :




Nouvelle Vague feat. Marina Céleste, « A Forest » (Nouvelle vague, 2004) :

jeudi 5 mai 2011

Ah, les années 80 en France !

Ah, les années 80 en France !

Les années de l'excès, de la démesure, de l'extravagance, bref, du ridicule.
On en oublierai presque avec tout ça que ces années furent vraiment intéressantes au niveau musical.
Nouveau son, nouveaux horizons, nouveaux artistes...

Vous l'avez compris, nous voici donc reparti pour un voyage dans le temps, mais cette fois si sur notre bon vieux sol français.

Attention pas question ici de Jean-Pierre François ou de Stéphanie de Monaco !
Entendez par là des artistes seulement connus pour un tube classé 4ème au TOP 50 durant deux semaines consécutives en 84.

Non, ici il sera question des «bonnes» années 80:
Des artistes connus et reconnus, des chansons intemporelles...

C'est parti, direction les années 80 !



Claude Nougaro - "Lady Liberty" (Nougayork, 1985)




L'Affaire Louis Trio - "Chic Planète" (Chic Planète, 1987)




Michel Jonasz - "La FM Qui S'est Spécialisée Funky" (Uni vers l'Uni, 1985)




Serge Gainsbourg - "Baille Baille Samantha" (You're Under Arrest, 1987)




Alain Chamfort - "Chasseur D'Ivoire" (Amour Année Zéro, 1981)




Et pour le plaisir :

Gerard Jugnot - "Je suis miné" (1985)

mardi 3 mai 2011

Don't Mess with America


Hier était un grand jour pour les États-Unis d'Amérique. Pour fêter cela, Kamal Khan Forever vous offre plusieurs versions de l'hymne américain, afin qu'il y en ait pour tous les goûts. Et ce en hommage à la créativité sans borne dont l'Amérique fait preuve, et que précisément le terroriste des sables Oussama ben Laden rêvait de détruire.


« The Star-Spangled Banner » (Super Bowl 2005) :




Jimi Hendrix, « The Star-Spangled Banner » (Woodstock 1969) :




Laibach, « America » (Volk, 2006) :



Whitney Houston, « The Star-Spangled Banner » (Welcome Home Heroes 1991) :

dimanche 1 mai 2011

Uma passagem para Brazil, 2 : "Que maravilha" par Vinicius de Moraes

Je vais devoir sérieusement me retenir de ne pas vous mettre tout l'album de bout en bout, parce que franchement, j'ai eu un mal fou à n'en retenir qu'une seule. Et encore, je n'ai pas nécessairement pris la meilleure, mais plutôt celle qui est représentative du ton de l'enregistrement, entre mélancolie et entrain, mélange tout brésilien.

Vinicius de Moraes, assisté de Maria Creuza au chant et Toquinho à la guitare ; extrait du live En la Fusa enregistré à Buenos Aires :

Let's Get Ready to Rumble !

Sur Kamal Khan Forever, on aime la musique, (ça, vous l'aurez compris), mais aussi le catch !

Rassurez vous, pour ceux dont les termes de Standing Moonsault, Hurricanrana et Swanton Bomb demeurent inconnus, ils ne sera nullement question ici de cours de rattrapage, mais de combiner la musique et le catch.

Et c'est à travers les meilleurs thèmes d'entrée des catcheurs que nous allons procéder.

Assez parlé, place au combat :

Let's get ready to rumble !


Jake «The Snake» Roberts (thème : Jim Johnston – "Snake") :




Dusty Rhodes (thème : Freedom – "American Dream") :




Hulk Hogan (thème : Rick Derringer – "Real American")




John Morrison (thème : Stonefree Experience – "Ain't No Make Believe")




Triple H (thème : Motorhead – "The Game")




Et pour le fun :

Rey Mysterio (thème : P.O.D. – "Booyaka 619") :